Vient de paraître sur « De Braises et d’Ombre » :
Sans paroles mais avec musique…
Le piano de Ravel sur des images du cinéma muet d’Harold Lloyd pour 1’38 de plaisir nostalgique et souriant…
Le piano de Ravel sur des images du cinéma muet d’Harold Lloyd pour 1’38 de plaisir nostalgique et souriant…
Question :
Les femmes sont-elles des criminelles comme les autres ?
Question subsidiaire :
Reprocherait-on sa bigamie à l’homme courageux qui aurait choisi de ne pas choisir entre deux de leurs plus envoûtantes ambassadrices ?
On ne répondra pas à ces interrogations sans avoir traîné tard la nuit dans les cabarets du Chicago des Années Folles ni frissonné le jour dans ses prétoires où la corde léchait encore les cous des belles meurtrières…
Un poème amoureux de Albert Ayguesparse…
Des couples inoubliables de films inoubliables…
Le souffle musical d’un tendre rêve de Brahms – Clara n’est pas bien loin…
Fragment d’un discours amoureux
(les guillemets sont en option)
La scène finale dans l’inégalée et, sans doute, pour ma part et pour le temps qu’il me reste, inégalable interprétation de Daniel Sorano en 1960.
« Le comédien ne s’impose pas au texte. Il le sert. Et servilement. »
Jean Vilar
« L’adolescence ne laisse un bon souvenir qu’aux adultes ayant mauvaise mémoire »
François Truffaut
– Peut être ?
Dans la vie de chacun il y a ‘un été 42 ‘
– Pour les images du générique du film de René Clément…
– Pour Faye Dunaway…
etc…
Et pour Gilbert Bécaud que l’on oublie trop !
Danse frénétique et sautillante comme thérapie aux effets malins de la morsure d’une tarentule…
ou, depuis La Danza du grand Rossini, un heureux moment de virtuosité qui ne se préoccupe pas du lieu où il produit son effet étourdissant : de la cuisine au garage en passant par la scène.
Viva il ballo a tondo a tondo,
sono un Re, sono un Pascià,
è il più bel piacer del mondo
la più cara voluttà.
Gabriel Garcia-Marquez
(« L’amour au temps du choléra » – 1985)
Un émouvant montage-collage d’un youtubeur inconnu en guise de bande-annonce rétrospective du film prémonitoire de David Mackenzie, sorti sur les écrans en 2011, PERFECT SENSE.
Au cœur d’une pandémie mondiale causée par un virus étrange qui entraîne chez les malades qu’il infecte une perte progressive des sens, un cuisinier, privé de facto d’une large part d’activité, et une brillante infectiologue, aussi perplexe qu’engagée, tombent amoureux.
Le vidéaste mixe selon son inspiration propre quelques images du film avec la voix de Shirley Horn chantant une des plus belles réussites du Jazz vocal de son cru, « Here’s to life », qui ne fait en rien partie de la bande son originale.
Émotion garantie à travers un harmonieux souvenir de cette romance cinématographique brièvement revisitée musicalement ici avec justesse et bon goût.
Émile Zola
Jean de La Fontaine
— Je crois qu’on est vieux la première fois…Le rossignol
— Qu’on aime ?Jean de La Fontaine
— Ah ! Non. La première fois qu’on cesse d’aimer.
Sacha Guitry – « Jean de La Fontaine » (1916)
« I’d rather be called ‘the 16th poet’ with no reference to my sex, than one of 4 women—even if the other three are pretty good. » (Elizabeth Bishop)
(Je préfère être considérée comme la seizième poétesse sans référence à mon sexe, plutôt que l’une des quatre meilleurEs – même si les trois autres sont particulièrement excellentes.)
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Car le poète est un four à brûler le réel. De toutes les émotions brutes qu’il reçoit, il sort parfois un léger diamant d’une eau et d’un éclat incomparables. Voilà toute une vie comprimée dans quelques images et quelques phrases. Pierre Reverdy
Vous devriez savoir que je laisse toujours mes yeux dans les arbres...Jusqu'à ce que mes seins s'ennuient...
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