Vient de paraître sur « De Braises et d’Ombre » :
‘Yo soy Maria’
Tango sévère et triste,
Tango de menace…
Tango d’amour et de mort
Ricardo Güiraldes
La voilà qui se présente, revenue des ténèbres à travers les imaginations littéraire et musicale conjuguées de Horacio Ferrer et Astor Piazzola, pour incarner le Tango qui leur est si cher.
La voilà, sous les traits de Fatma Saïd, et empruntant sa formidable voix, qui fièrement s’annonce au début de l’opéra-tango, « Maria de Buenos Aires » qu’ils ont respectivement écrit et composé à la fin des années 1960, en hommage à l’éternel tango argentin :