Mais vieillir… ! – 16 – Place de l’enfance

Vient de paraître sur « De Braises et d’Ombre » :

Mais vieillir… ! – 16 – Place de l’enfance

En dehors de l’enfance et de l’oubli, il n’y a que la grâce qui puisse vous consoler d’exister…

Eugène Ionesco

 

Young at heart

Ballade composée en 1953 par Johnny Richards
Paroles de Carolyn Leigh
Répertoire de Frank Sinatra

Lire, voir, écouter . . . !

Retrouvée, mon éternité – 1 & 2 –

Viennent de paraître sur « De Braises et d’Ombre » :

Retrouvée, mon éternité ! 1/2 – Barbara

Retrouvée, mon éternité ! 2/2 – Aragon

C’est la voix allée
Avec le poème.

Cécile McLorin Salvant – 2019

Chanteuse de jazz dans la pure tradition des divas du jazz vocal, mais pas que…

Il faut aussi s’offrir le bonheur d’écouter Cécile McLorin Salvant quand elle revisite  – entreprise ô combien délicate – une éternelle et très personnelle chanson de Barbara, « Ma plus belle histoire d’amour », ou un immortel poème de Louis Aragon, « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? », fleuron des interprétations du mythique Léo Ferré !

Voir, écouter ! . . .

Alfonsina : encore et toujours !

Vient de paraître sur « De Braises et d’Ombre » :

Alfonsina : encore et toujours !

Por la blanda arena que lame el mar
Su pequeña huella no vuelve más
Un sendero solo de pena y silencio llegó
Hasta el agua profunda
Un sendero solo de penas mudas llegó
Hasta la espuma*

Paroles de la chanson « Alfonsina y el mar »

Belle surprise que cette version très touchante de « Alfonsina y el mar » par l’iconique bassiste de jazz Richard Bona et son complice, le pianiste cubain Alfredo Rodiguez depuis la scène du Festival de Jazz de Vienne (Isère), cet été 2021.

Lire, voir, écouter. . . Laisser un sourire sécher une larme !

*Sur le sable fin léché par la mer
Cette petite empreinte qui n’apparaît plus,
Il ne reste qu’un sillage de silence et de peine
Jusque dans l´eau profonde
Un sentier de peines muettes
Qui avance dans l’écume.

Mon rêve de Noël – 1 & 2

Vient de paraître sur « De Braises et d’Ombre » :

Mon rêve de Noël (deux parties)

Just you and I, forever and a day
Love will never die because we’ll keep it that way
Up among the stars we’ll find a harmony of life to a lovely tune
East of the sun and west of the moon

Nicki Parrott (contrebassiste et chanteuse de jazz)

Quand un rêve nous surprend un soir de Noël, la probabilité est faible de le voir se métamorphoser en cauchemar.

Quel que soit l’âge que la vie nous a offert d’atteindre elle ne saurait à aucun moment anéantir la force des illusions et des espérances que notre enfance a édifiées.

Rêver : sans doute notre plus beau chemin de vie !

Joyeux Noël !

Lire, voir, écouter… Et rêver, rêver, rêver comme un enfant.

Des ronds et des spirales…

Vient de paraître sur « De Braises et d’Ombre » :

Des ronds et des spirales…

« When you knew that it was over you were suddenly aware
That the autumn leaves were turning to the color of her hair! »

Sinne Eeg and the Jacob Christoffersen Trio

Sinne Eeg – The Windmills Of Your Mind

Festival de jazz d’Orange – 2012

Écouter, voir . . . Jeter des cailloux dans l’eau . . . !

Old fashion…

Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :

Old fashion…

« La mode se démode, le style jamais. »

Coco Chanel

Tatiana Eva-Marie

Tatiana Eva-Marie chante avec sa grâce toute naturelle la chanson créée dans les années 1930 par Baby Rose-Marie au début très précoce de sa carrière.

Take a picture of the moon above
In May or June
Then you could make love
Morning night or noon
By the light of the same old moon

Si Rose Marie avait alors pour accompagnateur le père du « Swing », le grand Fletcher Henderson, Tatiana n’est pas en reste, accompagnée par Terry Waldo, maître incontesté du « Ragtime » depuis une soixantaine d’années, et un groupe de musiciens très talentueux, le Gotham City Band.

Voir, écouter . . .

Pas de passeport pour le bœuf !

Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :

Pas de passeport pour le bœuf !

« Le jazz est selon moi une expression des idéaux les plus élevés. Par conséquent, il contient de la fraternité. Et je crois qu’avec de la fraternité, il n’y aurait pas de pauvreté, il n’y aurait pas de guerres. »

John Coltrane (saxophoniste 1926-1967)

Live from Emmet’s place

Hé ! Les amis ! Un bœuf chez Emmet, ça vous dit ?

Oui, un « bœuf » quoi ! Une « jam session », si vous préférez : chacun vient avec son instrument, sa voix et son talent et ensemble on fait de la musique. La musique qu’on aime… à condition que ce soit du jazz.

Vous avez le cœur « bluesy », des « cailloux plein votre lit »

Alors venez ! Venez comme vous êtes.
Soyez qui vous êtes !
On fait le bœuf chez Emmet !

Lire, voir, écouter . . .

Tristesse

Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :

Tristesse

Adieu tristesse,
Bonjour tristesse…

Tu n’es pas tout à fait la misère,
Car les lèvres les plus pauvres te dénoncent
Par un sourire.

Paul Eluard

Ψ

Voix d’ange et musiciens aussi jeunes que talentueux pour faire fête à la saudade brésilienne entre jazz et bossa-nova

Alba Armengou

Lire, voir, écouter… danser !

Here’s to life

Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :

Here’s to life

I have learned that all you give is all you get
So give it all you’ve got*

Shirley Horn – (1934-2005) – Photo 1991

« Le retour de Shirley Horn au devant de la scène à l’âge mûr a révélé au grand public une chanteuse d’une rare authenticité, chez qui l’émotion la plus pure se conjuguait à une musicalité sans pareille dont témoignait son aura auprès des musiciens. »

Vincent Bessières – Directeur de la revue « Jazz & People »

* J’ai appris  que tout ce qu’on donne est tout ce qu’on obtient
Alors donne tout ce que tu as reçu

Lire, voir, ÉCOUTER . . .

Poor Butterfly !

Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :

Poor Butterfly !

If you have to ask what jazz is, you’ll never know.

Louis Armstrong

Nous connaissons tous, de près ou de loin, le tragique destin de cette jolie jeune fille japonaise, séduite, abandonnée et trahie par un officier américain, Madame Butterfly, que Puccini met en scène dans son inoubliable opéra éponyme.

Son histoire a inspiré deux compositeurs de chansons du Broadway de 1916. Ils écrivent un succès : « Poor Butterfly ».

Sa reprise dans les années 1950 fait de ce morceau un « standard » du jazz que les plus grands musiciens du genre font entrer dans la légende.

Les années n’ont pas de prise sur ce titre qui a fait figure de signature des programmes de la grande Sarah Vaughan.

Et, pour notre bonheur, ça continue… pour le meilleur !

La preuve avec Cécile McLorin Salvant, a cappella ou en formation…

Lire, voir, écouter . . .