Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :
– If you have to ask what jazz is, you’ll never know.
Louis Armstrong
Nous connaissons tous, de près ou de loin, le tragique destin de cette jolie jeune fille japonaise, séduite, abandonnée et trahie par un officier américain, Madame Butterfly, que Puccini met en scène dans son inoubliable opéra éponyme.
Son histoire a inspiré deux compositeurs de chansons du Broadway de 1916. Ils écrivent un succès : « Poor Butterfly ».
Sa reprise dans les années 1950 fait de ce morceau un « standard » du jazz que les plus grands musiciens du genre font entrer dans la légende.
Les années n’ont pas de prise sur ce titre qui a fait figure de signature des programmes de la grande Sarah Vaughan.
Et, pour notre bonheur, ça continue… pour le meilleur !
La preuve avec Cécile McLorin Salvant, a cappella ou en formation…