Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :
Allégorie baroque de la douleur… des pauvres hommes victimes du sadisme féminin
« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots. »
Alfred de Musset
Nos chants les plus beaux, frères de désespérance, Haendel ne les a-t-il pas composés comme un éternel hommage compassionnel à nos chagrins immémoriaux d’amants déçus, d’amoureux délaissés ou de maris trahis ?