Vient de paraître sur « De Braises et d’Ombre » :
Toutes les lettres d’amour…
Mas, afinal,
Só as criaturas que nunca escreveram
Cartas de amor
É que são
Ridículas.
Est-il plus belle et plus élégante manière de rendre hommage à l’universalisme de l’extraordinaire poète portugais, Fernando Pessoa, que cette « lettre d’amour », qu’il a lui-même écrite – en portugais – et que lui adresse, en trois langues, la très talentueuse Maria de Medeiros ?