Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :
« La faille du crépuscule… »
Je le sais, je mourrai au crépuscule, ou le matin ou le soir !
Auquel des deux, avec lequel des deux – ça ne se commande pas !
Ô s’il était possible que mon flambeau s’éteigne deux fois :
Je suis passée sur terre d’un pas de danse ! …
[…]
« Il n’a pas retenti de voix plus passionnée que la sienne » (Joseph Brodsky)