Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :
« Héros de Crémone »
« Si je prends un violon dans mes mains, je crois tenir une vie ».
« Le violon est le roi du chant. Il a tous les tons et une portée immense : de la joie à la douleur, de l’ivresse à la méditation, de la profonde gravité à la légèreté angélique, il parcourt tout l’espace du sentiment. L’allégresse sereine ne lui est… pas plus étrangère que la brûlante volupté… »
[…]
Extraits illustrés de « La page des violons » in « Voyage du Condottière » de André Suarès — incontournable récit des voyages en Italie d’un esthète sensible et érudit, écrit au début du XXème siècle, dans une langue aussi belle que passionnée.