Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :
Larmes d’opéra – Larmes à l’Opéra (Puccini 2/3)
« Il me faut mettre en musique des passions véritables, des passions humaines, l’amour et la douleur, le sourire et les larmes et que je les sente, qu’elles m’empoignent, qu’elles me secouent. »
Est-il image plus incitative à la compassion que celle de la mère de douleur ? Comment alors retenir ses larmes lorsque le portrait figé du tableau prend chair, s’anime, et que …
« Senza mamma »